JULIET

Je suis arrivé le : 18/05/2013

" J'ai confiance en moi seulement j'ai l'impression que mon bonheur peut s'arrêter à chaque secondes, je sursaute quand j'entend mon téléphone sonnait de peur qu'on m'annonce ta mort ou celle d'un de mes proches. On peut pas dire que la vie m'ait fait beaucoup de cadeau jusque là. " Je serais les mâchoires. Elle avait déjà perdu et elle ne méritait en aucun de souffrir plus, surtout par ma faute. Elle avait déjà souffert pour toute une vie alors qu’elle était qu’un début de sa vie. j’aurais voulu lui épargner tant de souffrance mais je savais que parfois, il n’y avait rien à faire, qu’on ne pouvait pas influer sur les évènements même si on le voulait de toute notre cœur. « La roue tourne tu sais. Elle le fait toujours. La vie n’est pas un long fleuve tranquille, toi comme moi le savons bien. Faut s’accrocher et ne pas perdre patience, même si c’est dur et que tu mérite plus que quiconque d’avoir ta dose de bonheur. » Je la regardais, priant pour que mes paroles l’aient un peu aider à voir ça d’un meilleur œil mais je comprenais qu’elle perde patience et qu’elle veuille que les choses changent après tout ce qui lui était arrivé. Alors qu’elle me parlait, je compris qu’elle s’en voulait encore énormément pour ce qu’il c’était passé après l’aéroport. Mon envoie en mission, mon accident suivit de ma longue mise à pied. Hors elle n’y était pour rien et j’essayais bien de le lui faire comprendre mais Juliet restait Juliet avec son entêtement légendaire. " Mais si je n'avais pas eu dans l'idée d'aller à l'aéroport ce soir la, je n'aurais pas fini chez toi et tu n'aurais pas atterri en Afrique. Je ne suis peut-être pas directement responsable mais mon choix a fait que tu as faillis mourir. " Je soupirais, secouant la tête. Elle n’en démordrait pas et je savais qu’essayer de la convaincre qu’elle n’était en rien responsable ne ferait que me pendre inutilement mon énergie. Je levais les yeux sur elle. « Peut-être mais moi je ne regrette absolument pas ce qu’il s’est passé. Tu avais besoin de moi et j’ai fais ce que je devais faire pour te protéger, pas en tant que garde du corps mais en tant qu’ami. Le reste je m’en fou Juliet. » Dis-je, prenant mon ton de voix autoritaire sans le vouloir vraiment mais ça me dépassé qu’elle ne comprenne pas qu’elle n’avait pas à s’en vouloir et que j’étais loin de la tenir responsable de tout ça. Je ne pouvais que m’en prendre à moi même de toute façon. J’avais fait mes propres choix, personne ne m’avait obligé à rien.

Juliet m’ouvrit ensuite son cœur comme jamais. Ça me surpris énormément d’ailleurs. Ce n’était pas son genre de parler aussi ouvertement et aussi sérieusement. Je l’écoutais, ne voulant pas risquer de la froisser en l’interrompant. Les cartes étaient mise sur la table. Du moins de son côté et on ne pouvait plus ni l’un ni l’autre faire les autruches. Je faisais alors de-même même si étant un homme j’étais … plus réservé. Evidement que je sentais bien que les choses entre nous avait changé depuis quelques temps mais je pense que si nous n’en avions pas parler avant c’était qu’on savait tout les deux que avec mon boulot c’était plus que compliqué. " Compliqué, oui je sais.. " Confirma Juliet après ma tirade. Compliqué mais pas impossible et les difficultés étaient loin de me faire peur sinon jamais je ne serais rester aussi longtemps en charge de Juliet pensais-je, amusé. Au début, elle m’avait vraiment fait une vie d’enfer mais on avait tout les deux apprit à s’apprivoiser l’un et l’autre pour en arrivé là aujourd’hui. Je lui ouvrais encore une fois mon cœur, lui disant que je l’aimais, que j’aimais son fils et qu’ils étaient tout simplement ma famille et que rien ne changerait ça, jamais. Je souris à Juliet et me rendis compte que des larmes sucrés se déversaient sur ses joues. Je roulais des yeux, et venais de mon pouce essuyer ses larmes alors qu’elle me serrait plus la main. « Arrête de pleurer ma petite madeleine … » Je souris, me rapprochant encore d’elle, venant prendre place sur sa serviette pour la prendre dans mes bras. Je venais alors déposer mes lèvres sur les siennes. Elle dénoua nos mains et les passa dans mes cheveux avant de venir caresser ma joue ou trônait une petite barbe de quelques jours. " Je trouve ça injuste que ta carrière te demande autant de sacrifice. Tu as le droit d'aimer comme n'importe qui sur cette Terre. " Je la regardais, soupirant. « Tu sais que c’est pas aussi facile … J’aimerais que cela le soit, je t’assure mais ça ne l’est pas. Après il y aurait bien une solution pour rendre les choses plus simples mais je sais déjà qu’elle ne va pas te plaire … » Je ris, imaginant déjà la réaction de Juliet. « Sache que, tu me connais, les difficultés ça me fais pas peur donc je te promet qu’on trouvera une solution, peu importe le temps que ça va prendre. » Lui assurais-je, sérieux et tout ce qu’il y a de plus sincère. Je voulais faire les choses bien cette fois, et ne rien gâché comme je ne laisserais rien ni personne gâcher ce qu’on avait Juliet et moi. " Ti amo il mio angelo " Je souris en l’entendant. C’était rare de l’entendre parler italien, c’était souvent quand elle s’énervait d’ailleurs mais pas pour dire je t’aime. J’avais vraiment bien fait de la rejoindre pour mes vacances. Etre avec elle, au soleil, Hézio jouant près de nous, tout ça avait vraiment un goût de paradis. « Je t’aime aussi. » Je lui souris, venant caresser sa joue avant de passer un bras sur ses épaules pour la coller contre moi.

La Floride, les vacances, le bébé & Connor

Juliet feat Connor.

J'essayais tans bien que mal de croire en l'avenir mais à chaque fois que j'y avais cru un peu il s'était effondré. Ma vie est un yoyo géant et étant heureuse depuis quelques mois, depuis la naissance de mon fils plus exactement je redoutais plus que tout la chance qui allait s'en suivre. Pour l'instant j'étais d'autant plus heureuse que Connor soit là à mes côtés et comme toujours il savait trouvé les mots pour m'aider. « La roue tourne tu sais. Elle le fait toujours. La vie n’est pas un long fleuve tranquille, toi comme moi le savons bien. Faut s’accrocher et ne pas perdre patience, même si c’est dur et que tu mérite plus que quiconque d’avoir ta dose de bonheur. » Je lui souris, je me suis toujours accroché du mieux que j'ai pu mais au fils des épreuves je sens bien que ma patience et ma ténacité en prend un coup, on ne peut pas se relevé à chaque fois en disant c'est pas grave ce n'est qu'un mauvais moment à passé, pas quand les mauvais moments s’enchaînent. " Tu as peut-être raison, je devrais savouré le moment présent avant de penser à demain et à tout les malheurs qui pourraient arrivés.. " Je devais cesser de croire d'avoir un mauvais oeil sur moi, la mort de mes parents avait était un accident, personne n'aurait pu éviter les attentats en Italie, Mattéo n'était pas à l'épreuve des balles. Tout n'était pas toujours de ma faute et je devais le comprendre. Cela était aussi le cas pour le fait que Connor est été envoyé en Afrique après m'être venu en aide. Sur ce point cela aller être compliqué pour moi de changer de point de vue. Je lui expliquais pourquoi je croyais que tout cela était de ma faute. « Peut-être mais moi je ne regrette absolument pas ce qu’il s’est passé. Tu avais besoin de moi et j’ai fais ce que je devais faire pour te protéger, pas en tant que garde du corps mais en tant qu’ami. Le reste je m’en fou Juliet. » Je penchais la tête le regardant avec tendresse ça me toucher beaucoup. Je finis par lui sourire doucement sans ajoutez quoi que ce soit j'avais bien compris le message. Je ne reviendrais plus sur le sujet. Je finis par lui avouer que oui je ressentais beaucoup plus pour lui que de l'amitié ou de la fraternité et il s'avère que cela est réciproque, je ne pus m'empêcher de laisser couler quelques larmes quand il venait de me dire qu'il m'aimait mon fils et moi et que nous étions sa famille. « Arrête de pleurer ma petite madeleine … » Je me mis à rire puis je gardais le sourire. " Je ne suis pas petite d'abord.. " Je souris le laissant se rapprocher et me prendre dans ses bras. Mes lèvres rencontrèrent à nouveau les siennes cette fois ci à l'initiative de Connor, je prolongeais doucement ce baiser me sentant excellemment bien à ce moment précis. Rendre des comptes à ses chefs parce que l'on aime quelqu'un je trouve ça injuste même si je sais que c'est surtout le fait que je sois sa protégée officielle qui soit un obstacle. « Tu sais que c’est pas aussi facile … J’aimerais que cela le soit, je t’assure mais ça ne l’est pas. Après il y aurait bien une solution pour rendre les choses plus simples mais je sais déjà qu’elle ne va pas te plaire … » Je grimaçais légèrement, il me connaissait très bien pour savoir ce qui pouvait me plaire ou pas. " A quoi tu penses ? " Cela m'intéresser cependant, j'étais prête à énormément de choses pour lui et pour que nous puissions être ensemble en toute liberté. J'avais hâte d'entendre son idée. « Sache que, tu me connais, les difficultés ça me fais pas peur donc je te promet qu’on trouvera une solution, peu importe le temps que ça va prendre. » Je souris moi aussi prête à remuer ciel et terre s'il le fallait, l'un comme l'autre avions l'habitude des difficultés et avions toujours réussi à bien nous en sortir. " D'accord. J'ai entièrement confiance en toi, en nous et je suis certaine qu'on trouvera. " Je voulais cependant lui soumettre une idée. " Je pourrais peut-être menacé ton patron ? " Les menaces ça me connait, le juge qui avait envoyé Connor loin de moi s'en souvient encore. Je ris bien sur je n'étais pas sérieuse, même si j'en aurais été entièrement capable. chef de la CIA ou non il ne me faisait pas peur. Etant sur un petit nuage je lui avais dis l'aimer dans ma langue maternelle, c'était important pour moi et son sourire fut communicatif faisant en apparaître un autre sur mes lèvres. « Je t’aime aussi. » J'étais au paradis, je n'avais besoin de rien d'autre, les deux personnes que j'aime le plus au monde étaient à mes côtés et c'est tout ce qui comptait pour moi. Je me collais contre Connor passant mon bras derrière lui et ma main libre je la posais sur son torse, la tempe collait à son épaule je fermais les yeux quelques instants appréciant ce moment. Mes doigts caressaient doucement son torse je rouvris les yeux en entendant les gazouillis de Hézio, il avait l'air heureux d'être ici à jouer dans le sable me regardant il tendis les bras vers nous, c'est avec le sourire que le je pris sur mes jambes me replaçant contre Connor c'était le bon moment pour prendre une photo ! Sortant mon téléphone de mon sac je tournais le tête vers Connor : " Une petite séance photo ça te dis ? " Une photo à trois serait parfaite pour mon nouveau fond d'écran et c'était un moment parfait pour ça, je lui souris et fis mon regard de biche , celui auquel on ne résiste pas.

@destiny.

Je suis arrivé le : 18/05/2013

Il faut que je te dise un truc !

Juliet feat Cléo.

Je venais de passé une journée extraordinaire, absolument magique. Après une journée à la plage Hézio jouait dans son parc et Connor était sous la douche, je comptais donc profiter de ce moment pour appeler ma meilleure amie et lui parler de tout ce qui s'était passé aujourd'hui. L'appel allait me coûter cher mais ce n'était qu'un détail ! Composant son numéro j'attendis patiemment qu'elle décroche remuant la sauce que je faisais chauffé en même temps dans une casserole. Quand elle décrocha je la saluais : " Coucou ma chérie ! Comment vas tu dis moi ? " J'aurais aimé qu'elle vienne avec nous mais elle était occupé de son côté.